Nombre total de pages vues

mercredi 24 août 2011

Pape Jean XX111

NAISSANCE ET PREMIERES ANNEES AVEC LA FAMILLE

Angelo Giuseppe est né à dix heures et quinze du matin, le 25 novembre 1881 à Sotto il Monte, 16 Km sud-ouest de Bergame, localité Brussico au numero 42, dans une pauvre maison de paysans appelée Palazzo, quatriéme-né des13 enfants de Battista Roncalli et Marianna Mazzola. Il à été baptisé ( cliquez ici pour voir le certificat de bapte^me) le me^me jour de sa naissance par le curé Francesco Rebuzzini dans l’église de S. Maria à Brussico. Le grand-oncle Zaverio Roncalli, chef de famille et frère du grand-père Angelo, a été son parrain. Il a été élevé dans le pauvre milieu d’une famille très modeste des métayers.
La foi indiscutée, la charité, la confiance absolue dans la providence de Dieu, la commune pière quotidienne, source de grande sérénité, représentaient la richesse la plus grande de sa famille. Le future Pape, pour toute sa vie, reconnai^tra le valeur de ces vertus qu’il avait appris dans le milieu familial et qu’il définira: « parmi les choses les plus précieuses et importantes qui soutiennent et donnent chaleur aux autres nombreuses choses » qu’il ira apprendre à la suite.
De 1887 à 1890 Angelo Giuseppe fréquente les trois premières classes de l’école primaire.
Le 13 février 1889 à Carvico, il reçoit la confirmation par l’éve^que Gaetano Guindani et le 31 mars 1889 il est admis à la première communion.


EDUCATION AU SACERDOCE

En 1892 à 11 ans Angelo commence a fréquenter le séminaire de Bergame, pour suivre les études du gymnase et du lycée, me^me gra^ce à l’aide économique du curé Francesco Rebuzzini et du curé Giovanni Morlani, propriétaire du terrain cultivé par la Famille Roncalli. C’est pendant les années du séminaire qu’ Angelo developpe l’idée de faire touts les efforts pour devenir saint, comment on peut lire plusieurs fois sur son oeuvre « il giornale dell’anima » qu’il a commencé en 1895.
Pour ses aptitudes intellectuelles et moraux en il est envoyé à Rome pour continuer les études chez le Séminaire Romain de l’Apollinaire, utilisant une bourse d’études. A’ propos de la formation intellectuelle recevue pendant les années du Séminaire Romain dans un milieu d’ouverture mentale et culturelle, il dira qu’elle (la formation): « donnait de discretes ailes à notre jeunesse et encouragait vers de plus graands Horizons ».
Pendant les années 1901 – 1902 Angelo fit la demande d’anticipation du service militaire, en se sacrifiant pour son frère Zaverio qui était plus nécessaire que lui pour le travail aux champs.
Me ^me si cette periode fut un vrai purgatoire pour Angelo, il écrivait : « Je sens Dieu avec toute sa sainte providence près de moi. »
Il pris son doctorat en théologie en 1904.

ORDINATION ET PREMIERES ANNEES DU SACERDOCE

Le 10 aou^t 1904 dans l’église de S.Maria en Monte Santo, à Rome, Angelo devient Pre^tre.Le jour suivant Il célébre sa premiére messe dans la basilique de Saint Pierre à co^té du tombeau de l’Apo^tre Pierre et à midi il recontre le Pape Saint Pie Dix.
Voilà comment il decrira cet episode dans « il Giornale dell’anima » : « Quand le Pape vint prés de moi et le vice-recteur m’introduisit, il sourit et il se baissa pour m’écouter. Je Lui parlais à genoux, Je lui dis que J’étais heureux de mettre au son pied les sentiments que J’avais déposé pendant la premiére messe, sur le tombeau de S.Pierre le matin, et Je les lui exposai brévement d’une façon la meilleure possible. Le Pape alors, toujours biassé et avec sa main sur ma te^te, presque en parlant dans mon oreil, me dit : « bien, bien garçon J’aime ce que vouz venez de me dire ; Je priera Notre Seigneur pour qu’il bénisse vos propos et pour que suivant sa volonté vous deveniez pre^tre. Je bénis ensuite les autres intentions que vous avez et toutes les gens que seront heureux pour vouz. » Il me bénit et il me offrit sa main à embrasser. Puis il passa outre, il parla avec les autres, avec un Polonais Je crois, mais immédiatement il retourna vers moi et il me demanda quand Je tournerai chez moi et Je lui a repondu : « le jour de la fe^te de l’Assomption » « quelle belle fe^te » il àjouta « Dans votre petite village (avant il m’avait domandé d’ou Je venais) et les belles cloches bergamasques qui carillonneront pendant tout ce jour-là. »
En 1905 Angelo a été nommé secrétaire de l’éve^que de Bergame Monseigneur Giacomo Radini Tedeschi et l’année suivante il a été assigné à l’enseignement d’histoire et patrologie au Séminaire.

SERVICE MILITAIRE PENDANT LA GRANDE GUERRE


Le 23 mai 1915 Angelo est rappellé au service militaire avec le grade de sergent de santé et le jour suivant il se rend au centre de rassemblement de saint Ambrogio à Milan d’où il est envoyé a Bergame. Jusqu’en 1918 il a porté les armes comme chapelain de l’ho^pital de réserve de Bergame, appelé « nouvel abri » et des autres différentes ho^pitaux sur le territoire bergamasque.
Angelo réussait avec son amabilité et son optimisme à soulanger les soldats et à les reconduire vers la foi.


PREMIERE TACHE NATIONALE.



En 1921 Angelo a été rappellé à Rome comme président italien du Conseil central de l’Oeuvre Pontificale et de la Propagation de la Foi et dans cette occasion il decouvrit l’amour pour les missions à l’étranger, influencé par le rencontre avec Père Palo Manna, chef de l’Institute Pontifical Missions à l’Etranger (PIME) qui avait comme programme : « L’église entière par le monde entier » et qui a été parmi les plus grands défenseurs de la cause des missions de notre siécle.

PARMI LE CORPS DIPLOMATIQUE DU SAINT-SIEGE

En 1925 le monseigneur Angelo Roncalli entra au direct service du Saint – Siège. Le 19 Mars 1925 dans l’eglise de San Carlo in Corso à Rome il devient Eve^que et il est nommé visiteur Apostolique en Bulgarie. Il suffrit beaucoup pour la très difficile situation sociale, politique et religeuse de ce pays. Mais avec sa sympathie, sa semplicité, son bon coeur et son intelligence il reussit à conquérir tout le monde. Voilà par exemple son programme à propos des orthodoxes contenu dans son premier discours : « les bons sentiments vers nos frères separés ne sont pas suffisants, si vous vraiment les aimez, donnez leur le bon exemple et transformez votre amour en action». En 1934 il a été transféré à la délégation Apostolique de Turquie et Grèce et il a été nommé gérant Apostolique des Latins d’Instanbul. Ici le monseigneur Roncalli fut très utile aux communautés hébreuses persécutées avec ses prérogatives de délégué du Pape et avec de bons rapports avec le corps diplomatique et les représentants pontificals des pays danubiens. En décembre 1944 le Pape Pio XII nomma Angelo Nonce Apostolique à Paris où il présenta ses lettres de créance le 1er Janvier 1945. Me^me in France Angelo trouva une situation très difficile : soit du point de vue politique pour l’accuse à beacoup d’éve^ques pour avoir collaboré avec les allemands envahisseurs, soit du point de vue religeux pour la querelle des pre^tres ouvriers. Me^me ici avec son équilibre, sa semplicité et son amabilité le Monseigneur Roncalli reussit à résoudre beaucoup de problèmes et reussit a conquerir l’amour des français et du corps diplomatique entier.

PATRIARCHE DE VENISE



Le 12 Janvier 1953 le Nonce Apostolique Angelo Giuseppe Roncalli est nommè cardinal par Pape Pio XIIe et trois jours après le 15 Janvier il est nommé Patriarche à Venise. Son programme présenté dans la première homélie en Saint Marc, demontre l’esprit qui l’anime.
Il dit aux habitants de Venise : « Je veux e^tre votre frère, amabile et compréhensif ». En continuant la tradition des patriarches, Il n’acheta ni de canots automobile, ni de gondoles. Pour se bouger sur la lagune il utilisait les moyens de transport publics. A Venise on disait de lui : « Touts ces qui rencontrait le Patriarche avait l’impression qu’ il etait particulièrement attentif avec tout le monde ».

ELECTION ET PONTIFICAT

Le 28 octobre 1958 à 77 ans, en surprenant tout le monde pour l’age qu’il avait, Roncalli fut élu Pape et il prit le prénom de son père, du patron de son village et de l’évangéliste de la charité : Jean.
Avec sa foi et son agréable caractère Il comença d’une nouvelle façon le pontificat. Deux mois aprés son élection il montra à tout le monde de pratiquer les oeuvres de miséricorde : à NOEL il visita les enfants malades des ho^pitaux Saint - Esprit et « Bambin Gesù » et le jour suivant il fit visite aux détenus de la prison « Regina Coeli » à Rome. Le 25 Janvier 1959, troi mois après son élection, dans la Basilique de « San Paolo fuori le mura », en surprenant tout le monde il annonça le XXI Concile Oecuménique qui après sera appelé « Vatican II», le premier Synode de la Diocése de Rome et la revision du Code De Droit Canonique.
Pendant son pontificat, dans trois concistoires, il nomma 37 nouveaux Cardinals dont, pour la première fois, un Cardinal de Tanzanie, un de Japon, un de Philippines et un de Mexique. Après 1870, Il fut le premier Pape qui exerça directement son ministère d’Eve^que de Rome, allant personellement visiter les paroisses.

PELERINAGE A LORETO ET A ASSISI



Le 4 octobre1962, une semaine avant le Concile, le Pape partit pour un pélerinage en train vers Loreto et Assisi. Il pria et il fit prier tout le monde pour le Concile qui était en train d’arriver. Cette fut la première sortie d’un Pape hors de la région du Lazio après l’annexion de Rome à l’état Italien en 1870, de façon que touts les moyens de communication ont beaucoup souligné l’importance cet évenement. La presse souligna beaucoup l’importance des discours faits du Pape à Loreto et à Assisi et rapporta beaucoup les conversations qu’il faisait de la fene^tre du vagon chaque fois que le train stoppait à les gares les plus importantes. La chose fondamentale c’est que le Pape a voulu aller en pèlerinage à Loreto et à Assisi pour implorer la gra^ce pour l’imminent Concile Oecuménique.

LE CONCILE



Le onze Octobre 1963 Pape Roncalli comença dans la Basilique de Saint Pierre le deuxième Concile du Vatican en soulignant ses objectifs : pas definir des nouvelles verités, ni condamner les erreurs, mais renouveler l’Eglise pour la faire plus sainte et donc plus apte à raconter l’évangile aux contemporains ; chercher l’union pour les Eglises Chrétiennes et trouver les aspects positivifs de la culture contemporaine ouvrant le dialogue avec la modernité et cherchant sourtout « ce qui unit les gens et pas ce qui les éloigne».

PRIX INTERNATIONAL POUR LA PAIX

Balzan

Le 1 Mars 1963 on décerne au Pape Roncalli le prix international pour la paix « Balzan », pour ses efforts vers une coexistence pacifiquedes toutes les gens. Le 7 mars il recontre, pendant une audience privée, le sénateur Giovanni Gronchi, président de la « Fondation International Balzan » , qui informe officiellement lePape de l’assignation du prix. Par la suite il a fait un discours de de remerciement en Français. Le Pape recevra le prix le 10 mai 1963.

AUDIENCE AU GENDRE DE KRUSCEV

7 Marzo 1963. La figlia di Nikita Kruscev e suo marito Alexei Adjubei sulla piazza di San Pietro

Le 7 Mars 1963 dans son bureau en Vatican, Pape Roncalli rencontre Alexej Adjubei avec sa femme Rada, fille du président sovietique Nikita Kruscev. Rada Très heureuse dit à Pape Roncalli : « Votres mains sont grands et noueuses comme les mains de paysans, comme les mains de mon père». A la fin du rendez-vous le Pape a dit à son secrétaire : « il peut-e^tre une désillusion, ou un mystérieux fil divin que je n’ai pas le droit de couper. » l’histoire a demontré la présence du fil.

ENCYCLIQUE PACEM IN TERRIS

Il papa che firma l'enciclica
L’11 Avril 1963, le Jeudi saint, Pape Roncalli publique son Encyclique « Pacem in terris » pour la première fois adressée pas seulement aux catholiques mais à touts les hommes de bonne volonté. Tout le monde, me^me ces qui ne sont pas chrétiennes, définit cette Encyclique la meilleure expression de paix et solidarité de tout le genre humain.
L’Encyclique a été gardée dans les archives des Nations Unies à New York.
Pendant sa vie Pape Roncalli a écrit huit Encycliques.


LA MORT

Le 23 Mai du 1963 la maladie du Pape a été publiquement annoncée et le 3 Juin du 1963 après 4 années, 6 mois et 6 jours de Pontificat, Angelo Giuseppe Roncalli qui avait pris le nom de Jean XXIII mourait doucement en envoquant Jésus et en offrant sa vie pour réaliser son testament : « pour que tout le monde soit seulement un (ut unum sint) ». Après avoir montré à tout le monde comment vivre, il a montré comment mourir avec foi. Sa mort a été l’exemple de mort du vrai chrétien et elle a devenue une expérience spirituelle parmi les plus grandes au niveau mondial. Le chagrin fut universal.
Il y a une personne qui à fréquenté le Pape pendant les années de son Pontificat et qui a bien définit la pensée de tout le monde : « Le Pape m’a fait découvrir d’une nouvelle et consolante façon la paternité de Dieu »

BEATIFICATION

Caterina Capitani

Pape Roncalli a été béatifié par Jean Paul II le 3 Septembre 2000.
Sa fe^te Liturgique a été étabilie le 11 Octobre, lev jour du commencement du deuxième Concile du Vatican après la prodigieuse guérison de soeur Caterina Capitani de filles de la charité de Saint Vincenzo De’ Paoli, pendant qu’elle été à l’Ho^pital de Naples.
Paul VI en 1965 avait proposé la béatification après la fin du deuxième Concile du Vatican.

TRASLATION DU CORPS

Le 3 Juin 2000, Dimanche de Penteco^te et 38 eme anniversaire de mort, le corps encore intact de Pape Roncalli a été traslé de souterrains Vaticans et mis dans la Basilique de Saint Pierre près de l’autel de Saint Girolamo.
En effet après e^tre divenu pre^tre, il a été professeur de Patrologie à Saint Girolamo.
Il a été un important père de l’Eglise Chrétienne et il a traduit la Bible de la langue Hébraique au latin.
Le Pape Jean Paul II pendant l’homélie de la messe de Penteco^te a rappelé le béat Pape Jean XXIII avec des mots émouvants.
Actuellement le béat Jean XXIII repose près de l’autel de ce noble père de l’Eglise, Saint Girolamo, qui l’a précédé sur le chemin de santité. Le sarcophage où le cercueil etait gardé a été tranféré à Sotto il Monte, son pays natal, dans l’Eglise de Saint Marie en Brusicco.

Roncalli the Freemason

Pictured in the middle: Angelo Roncolli (a.k.a "Brother John") in Turkey

During his Nunciature in Paris, "Cardinal Roncalli attended in civilian clothes the Great Lodge where he found again the Jesuit Riquet. His adviser was Maurice Bredet, author of 'Mystic and Magic,' who boasted that he had prophesied the Tiara to Cardinal Roncalli."9

His election proclaimed under a full moon. (See under John Paul II for this significance.)

Roncalli in 1958 took the name of John XXIII, the same name as the Anti-Pope Baldasar Cosa, who usurped the papal office during the exile of the true pope, and for a time carried out his usurpation in Rome itself. The policy in the Roman Church is to never take the name of an anti- pope, was this a cryptic signal?

Wartime preoccupation with supplying fraudulent baptismal certificates to thousands of Hungarian Jews, who were hiding from the Nazis. Putting aside the moral implications of such deception, he cared not if any of the Jews practiced the Catholic Faith, even though some of them had actually been baptized by nuns in Budapest.

Roncalli when Nuncio to France appointed a 33 Degree Freemason and close friend, the Baron Yves Marsaudon, as head of the French Branch of the Knights of Malta.10 This caused a major scandal for the Pacelli papacy.

The same Yves Marsaudon would later gloat: "If there are still some remnants of thought, reminiscent of the Inquisition, they will be drowned in a rising flood of ecumenism and liberalism. One of the most tangible consequences will be the lowering of spiritual barriers that divide the world. With all our hearts we wish for the success of John XXIII's Revolution."11 The dedication and preface for Marsaudon's book was written by Charles Riandley, Sovereign Grand Commander of the Supreme Council of France (Scottish Rite). Riandley wrote: "To the memory of Angelo Roncalli, ... Pope under the Name of John XXIII, Who Has Deigned to Give Us His Benediction, His Understanding and His Protection, ... [and] To His August Continuer, His Holiness Pope Paul VI." Riandley confidently predicted how the policies of Roncalli and Montini would advance the Masonic agenda: "We are convinced of the narrowness of the spiritual, cultural, scientific, social and economic structures which up to our own time, have hindered the actions and the thoughts of man... But these structures have already been shattered in part. Some pontifical decisions have contributed to this. We feel sure that they will be all destroyed eventually... True, not everything is to be rejected; but what cannot be saved will not be saved unless it is renovated." 12


Angelo Roncalli- Freemason
Angelo Roncalli (A.K.A. Antipope John XXIII)
Roncalli insisted upon receiving the red hat from the notoriously anti-clerical Vincent Auriol,
President of the Masonic "Fourth Republic" of France (whom he had described as "an honest socialist").

« Trois jours plus tard, il était nommé Patriarche de Venise, et durant les cinq ans qu’il y était, de nouveau, comme à Paris, il a exprimé une certaine sympathie pour les idéologies de Gauche, ce qui parfois embarrassa la presse italienne. »

When elevated to the College of Cardinals Roncalli insisted upon receiving the red hat from the notoriously anti-clerical Vincent Auriol, President of the Masonic "Fourth Republic" of France, kneeling before him to have the red hat placed upon his head.

At social functions in Paris Roncalli was frequently seen fraternizing with the Soviet Ambassador, M. Bogomolov, even though the Soviet Union had resumed its pre-war policy of brutal extermination of Catholics in Russia. Also a good friend of Edouard Herriot, Secretary of the anti-Catholic Radical Socialists (of France)13


Antipope John XXIII
After Roncalli's "election" he summoned the conclavists back for an unusual overnight post-election session:
“John XXIII asked the cardinals to remain in the conclave another night instead of leaving immediately as was customary…to caution them again against revealing the secrets of his election to outsiders...” (Alden Hatch, A Man Named John, Hawthorn Books, 1963, p. 163.)

The 1963 Conclave

On pages 607 to 609 of his book, "The Keys Of This Blood," Malachi Martin, perennial insider and eye-witness to the '63 Conclave, admits that Siri was elected Pope [again] in 1963, but that his election was "set aside" because of an outside "communication" [interference] by an "internationally based organization", regarding a "grave matter of [Vatican] state security." He then tries to justify outside interference of the conclave if it is conducted "by authorized persons" or if "the very existence of the Vatican City-State or its members or dependents" were at stake."


Bea the Jew
Antipope John XXIII & "Cardinal" Bea the Marrano Jew

One should note that this is the same Malachi Martin, who admitted to journalist, Benjamin Kaufman, that he had been brought into the Vatican by the Jewish "Cardinal" Bea to dig up dirt on prelates targeted for blackmail. Martin boasted that he had been "shaking long-closeted skeletons in the faces of cardinals who didn't quite want to do what Cardinal Bea and the pope wanted at the Council... 'I saw cardinals sweating in front of me'. Martin recalled... It was heady, having that power, 'and I began to enjoy it.'" (Cincinnati Enquirer, 22 December 1973)

The 1963 Conclave


Bea the Jew
Antipope John XXIII & "Cardinal" Bea the Marrano Jew

In one of his writings, Prince Scotersco, German cousin of Prince Borghese, President of the Conclave which elected Montini to the Supreme Pontificate, gives the following information concerning the Conclave of 21 June 1963: "During the Conclave, a Cardinal [Tisserant] left the Sistine Chapel, met with the representatives of B'nai B'rith, announced to them the election of Cardinal Siri. They replied by saying that the persecutions against the Church would continue at once. Returning to the Conclave, he made Montini to be elected."

On 18 July 1985 Louis Hubert Remy and Monsieur de la Franquerie and Francis Dallais met with Cardinal Siri. After asking him whether he had been elected Pope in 1963 "He started by remaining silent for a long time, then raised his eyes to heaven with a rictus of suffering and pain, joined his hands and said, weighing each word with gravity: 'I am bound by the secret.' Then after a long silence, heavy for us all, he said again: 'I am bound by the secret. This secret is horrible. I would have books to write about the different conclaves. Very serious things have taken place. But I can say nothing.'"15

"In the case of the Conclaves of John XXIII (1958) and of Paul VI (1963), there were communications (with the exterior). It was thus known that there were several ballots during which, in the first [Conclave], was (elected) [Cardinal' Tedeschini; and, in the second [Conclave], Cardinal Siri. The latter who had only one more vote than Montini (*), had the imprudence to ask that his election be again voted, so that he could reign with a more important majority. And it was then [during the noon recess following the second scrutiny] that Cardinal Tisserant went out to telephone, and when he returned, Cardinals Lienart, Konig, Dopfner and Tarancon [changed their ballots and then] voted for Paul VI [in the scrutinies which followed]. And it was known that these four had relations with the free-masons. Therefore, one can affirm, without mistake, that Paul VI was elected from that sect."16

Introibo concludes with the following comments, as quoted in part:

"...Mr. Scortesco was an excellent Catholic, full of piety and zeal. Furthermore, in 1971, we had learned in Rome, from the mouth of a person well informed of the under-currents of the Vatican politics, of the history of the violation of the closure of the Conclave, violation which, itself, would suffice to annul an election..."

In October 1992 Augustino Chigi, son of the late Prince Sigismondo Chigi, Marshall of the Conclaves of 1958 and 1963, admitted: "When my father and I returned to open the doors of the conclave [following the "election" of Montini] we discovered that the doors had been previously forced open [and the seals broken]... and there was much talk at that time among the Noble Guard that a Cardinal had left the conclave." As stated previously, this was Cardinal Tisserant going to speak with his masters of the Jewish B'nai B'rith.

And, it goes on. According to statements by Cardinal Siri and others, it appears that he was elected at the conclaves which supposedly elected John Paul I and John Paul II. Each time the Siri papacy was suppressed immediately and the conspirators candidate placed upon the papal throne.


J'attendis sa visite. Je savais qu'il viendrait.» (2)

Au cours de la visite nocturne, l'inconnu exposa donc à Pier Carpi les circonstances du cheminement spirituel et initiatique d'Angelo Roncalli, archevêque de Mesembria, délégué apostolique en Turquie.

M. Vincent Auriol, président île la Republique, impose la haretté au cardinal Roncalli
Le début du récit remonte à l'année 1935.
A cette époque, Angelo Roncalli doit faire preuve de la plus extrême prudence du fait des persécutions. Vêtu en civil, surveillé par tous, pratiquement dans l'impossibilité de se déplacer car les espions sont nombreux et difficilement décelables, il en est réduit à célébrer les sacrements à l'intention d'une communauté réduite à quelques fidèles. «C'est justement en ce temps-là qu'a lieu son premier contact avec le monde inconnu» écrit Pier Carpi.
Sept nuits de suite, alors qu'il s'abandonnait à son premier sommeil, le délégué apostolique reçut en songe la visite d'un étrange personnage, «vieux, les cheveux très blancs, le visage maigre, la peau sombre, des yeux doux et perçants. » (2), avec lequel il s'entretenait mentalement.
Mais, semble-t-il, les mots sommeil, songe, ou autres peuvent paraître tout à fait impropres ou insuffisants pour qualifier réellement l'état de conscience dans lequel il se trouvait plongé. La septième nuit fut décisive.
Le « vieil homme du sommeil » se manifesta en questionnant d'emblée :
«Sauras-tu me reconnaître?
Et Angelo Roncalli de répondre :
— Toujours, maître.»
Et, toujours dans cet état indéfinissable, Angelo Roncalli vit deux livres apparaître dans les mains du vieillard, les livres sacrés de «T» et de «M».
Il s'agissait des livres de la connaissance que le vieillard feuilletait sous ses ‘yeux’, rédigés dans une langue inconnue mais qu'Angelo Roncalli décryptait sans le moindre effort. Et pour lui, tout devint incroyablement simple, une grande lumière se fit en lui, semblable à celle qui nimbait les deux couvertures aux deux lettres d'argent en relief lorsque le « vieil homme du sommeil » referma les livres.
Le vieillard l'assura qu'il était sur la voie, qu'il était prêt et que lui-même n'était venu que parce qu'Angelo Roncalli l'avait appelé, que maintenant il savait, mais qu'il avait encore beaucoup de choses «à apprendre, à voir, à vivre ».
-«C'est pourquoi nous nous reverrons.
Je t'attends, maître, répartit le délégué apostolique. » (2)
Avant de disparaître, par trois fois, le vieil homme demanda à Angelo Roncalli s'il saurait le reconnaître, et par trois fois, ce dernier répondit affirmativement.
Réveillé, celui-ci tenta de retranscrire ce qu'il avait lu, mais sans y parvenir : il ne retrouvait aucun mot. Pourtant, il y avait en lui une certitude jamais atteinte auparavant, qu'il ne pouvait qualifier que d'un pauvre mot, la «lumière», reflétant bien imparfaitement l'état de conscience nouveau qui l'habitait et que rien ne pourrait plus jamais effacer.
Pier Carpi, rapportant toujours les confidences de son visiteur, relate qu'ensuite Angelo Roncalli reçut sept jours plus tard la visite ‘physique’ du vieillard qui l'avait contacté en «songe». Il était assis dans l'entrée de son logis. Un court dialogue s'ébaucha :


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire