NAISSANCE ET PREMIERES ANNEES AVEC LA FAMILLE
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La foi indiscutée, la charité, la confiance absolue dans la providence de Dieu, la commune pière quotidienne, source de grande sérénité, représentaient la richesse la plus grande de sa famille. Le future Pape, pour toute sa vie, reconnai^tra le valeur de ces vertus qu’il avait appris dans le milieu familial et qu’il définira: « parmi les choses les plus précieuses et importantes qui soutiennent et donnent chaleur aux autres nombreuses choses » qu’il ira apprendre à la suite. De 1887 à 1890 Angelo Giuseppe fréquente les trois premières classes de l’école primaire. Le 13 février 1889 à Carvico, il reçoit la confirmation par l’éve^que Gaetano Guindani et le 31 mars 1889 il est admis à la première communion. |
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EDUCATION AU SACERDOCE |
Pour ses aptitudes intellectuelles et moraux en il est envoyé à Rome pour continuer les études chez le Séminaire Romain de l’Apollinaire, utilisant une bourse d’études. A’ propos de la formation intellectuelle recevue pendant les années du Séminaire Romain dans un milieu d’ouverture mentale et culturelle, il dira qu’elle (la formation): « donnait de discretes ailes à notre jeunesse et encouragait vers de plus graands Horizons ». Pendant les années 1901 – 1902 Angelo fit la demande d’anticipation du service militaire, en se sacrifiant pour son frère Zaverio qui était plus nécessaire que lui pour le travail aux champs. Me ^me si cette periode fut un vrai purgatoire pour Angelo, il écrivait : « Je sens Dieu avec toute sa sainte providence près de moi. » Il pris son doctorat en théologie en 1904. |
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ORDINATION ET PREMIERES ANNEES DU SACERDOCE |
Voilà comment il decrira cet episode dans « il Giornale dell’anima » : « Quand le Pape vint prés de moi et le vice-recteur m’introduisit, il sourit et il se baissa pour m’écouter. Je Lui parlais à genoux, Je lui dis que J’étais heureux de mettre au son pied les sentiments que J’avais déposé pendant la premiére messe, sur le tombeau de S.Pierre le matin, et Je les lui exposai brévement d’une façon la meilleure possible. Le Pape alors, toujours biassé et avec sa main sur ma te^te, presque en parlant dans mon oreil, me dit : « bien, bien garçon J’aime ce que vouz venez de me dire ; Je priera Notre Seigneur pour qu’il bénisse vos propos et pour que suivant sa volonté vous deveniez pre^tre. Je bénis ensuite les autres intentions que vous avez et toutes les gens que seront heureux pour vouz. » Il me bénit et il me offrit sa main à embrasser. Puis il passa outre, il parla avec les autres, avec un Polonais Je crois, mais immédiatement il retourna vers moi et il me demanda quand Je tournerai chez moi et Je lui a repondu : « le jour de la fe^te de l’Assomption » « quelle belle fe^te » il àjouta « Dans votre petite village (avant il m’avait domandé d’ou Je venais) et les belles cloches bergamasques qui carillonneront pendant tout ce jour-là. » En 1905 Angelo a été nommé secrétaire de l’éve^que de Bergame Monseigneur Giacomo Radini Tedeschi et l’année suivante il a été assigné à l’enseignement d’histoire et patrologie au Séminaire. |
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SERVICE MILITAIRE PENDANT LA GRANDE GUERRE |
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PREMIERE TACHE NATIONALE. |
En 1921 Angelo a été rappellé à Rome comme président italien du Conseil central de l’Oeuvre Pontificale et de la Propagation de la Foi et dans cette occasion il decouvrit l’amour pour les missions à l’étranger, influencé par le rencontre avec Père Palo Manna, chef de l’Institute Pontifical Missions à l’Etranger (PIME) qui avait comme programme : « L’église entière par le monde entier » et qui a été parmi les plus grands défenseurs de la cause des missions de notre siécle. |
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PARMI LE CORPS DIPLOMATIQUE DU SAINT-SIEGE |
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PATRIARCHE DE VENISE |
Le 12 Janvier 1953 le Nonce Apostolique Angelo Giuseppe Roncalli est nommè cardinal par Pape Pio XIIe et trois jours après le 15 Janvier il est nommé Patriarche à Venise. Son programme présenté dans la première homélie en Saint Marc, demontre l’esprit qui l’anime. Il dit aux habitants de Venise : « Je veux e^tre votre frère, amabile et compréhensif ». En continuant la tradition des patriarches, Il n’acheta ni de canots automobile, ni de gondoles. Pour se bouger sur la lagune il utilisait les moyens de transport publics. A Venise on disait de lui : « Touts ces qui rencontrait le Patriarche avait l’impression qu’ il etait particulièrement attentif avec tout le monde ». |
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ELECTION ET PONTIFICAT |
Avec sa foi et son agréable caractère Il comença d’une nouvelle façon le pontificat. Deux mois aprés son élection il montra à tout le monde de pratiquer les oeuvres de miséricorde : à NOEL il visita les enfants malades des ho^pitaux Saint - Esprit et « Bambin Gesù » et le jour suivant il fit visite aux détenus de la prison « Regina Coeli » à Rome. Le 25 Janvier 1959, troi mois après son élection, dans la Basilique de « San Paolo fuori le mura », en surprenant tout le monde il annonça le XXI Concile Oecuménique qui après sera appelé « Vatican II», le premier Synode de la Diocése de Rome et la revision du Code De Droit Canonique. Pendant son pontificat, dans trois concistoires, il nomma 37 nouveaux Cardinals dont, pour la première fois, un Cardinal de Tanzanie, un de Japon, un de Philippines et un de Mexique. Après 1870, Il fut le premier Pape qui exerça directement son ministère d’Eve^que de Rome, allant personellement visiter les paroisses. |
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PELERINAGE A LORETO ET A ASSISI |
Le 4 octobre1962, une semaine avant le Concile, le Pape partit pour un pélerinage en train vers Loreto et Assisi. Il pria et il fit prier tout le monde pour le Concile qui était en train d’arriver. Cette fut la première sortie d’un Pape hors de la région du Lazio après l’annexion de Rome à l’état Italien en 1870, de façon que touts les moyens de communication ont beaucoup souligné l’importance cet évenement. La presse souligna beaucoup l’importance des discours faits du Pape à Loreto et à Assisi et rapporta beaucoup les conversations qu’il faisait de la fene^tre du vagon chaque fois que le train stoppait à les gares les plus importantes. La chose fondamentale c’est que le Pape a voulu aller en pèlerinage à Loreto et à Assisi pour implorer la gra^ce pour l’imminent Concile Oecuménique. |
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LE CONCILE |
Le onze Octobre 1963 Pape Roncalli comença dans la Basilique de Saint Pierre le deuxième Concile du Vatican en soulignant ses objectifs : pas definir des nouvelles verités, ni condamner les erreurs, mais renouveler l’Eglise pour la faire plus sainte et donc plus apte à raconter l’évangile aux contemporains ; chercher l’union pour les Eglises Chrétiennes et trouver les aspects positivifs de la culture contemporaine ouvrant le dialogue avec la modernité et cherchant sourtout « ce qui unit les gens et pas ce qui les éloigne». |
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PRIX INTERNATIONAL POUR LA PAIX |
Le 1 Mars 1963 on décerne au Pape Roncalli le prix international pour la paix « Balzan », pour ses efforts vers une coexistence pacifiquedes toutes les gens. Le 7 mars il recontre, pendant une audience privée, le sénateur Giovanni Gronchi, président de la « Fondation International Balzan » , qui informe officiellement lePape de l’assignation du prix. Par la suite il a fait un discours de de remerciement en Français. Le Pape recevra le prix le 10 mai 1963. |
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AUDIENCE AU GENDRE DE KRUSCEV |
Le 7 Mars 1963 dans son bureau en Vatican, Pape Roncalli rencontre Alexej Adjubei avec sa femme Rada, fille du président sovietique Nikita Kruscev. Rada Très heureuse dit à Pape Roncalli : « Votres mains sont grands et noueuses comme les mains de paysans, comme les mains de mon père». A la fin du rendez-vous le Pape a dit à son secrétaire : « il peut-e^tre une désillusion, ou un mystérieux fil divin que je n’ai pas le droit de couper. » l’histoire a demontré la présence du fil. |
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ENCYCLIQUE PACEM IN TERRIS |
L’11 Avril 1963, le Jeudi saint, Pape Roncalli publique son Encyclique « Pacem in terris » pour la première fois adressée pas seulement aux catholiques mais à touts les hommes de bonne volonté. Tout le monde, me^me ces qui ne sont pas chrétiennes, définit cette Encyclique la meilleure expression de paix et solidarité de tout le genre humain. L’Encyclique a été gardée dans les archives des Nations Unies à New York. Pendant sa vie Pape Roncalli a écrit huit Encycliques. |
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LA MORT |
Il y a une personne qui à fréquenté le Pape pendant les années de son Pontificat et qui a bien définit la pensée de tout le monde : « Le Pape m’a fait découvrir d’une nouvelle et consolante façon la paternité de Dieu » |
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BEATIFICATION |
Pape Roncalli a été béatifié par Jean Paul II le 3 Septembre 2000. Sa fe^te Liturgique a été étabilie le 11 Octobre, lev jour du commencement du deuxième Concile du Vatican après la prodigieuse guérison de soeur Caterina Capitani de filles de la charité de Saint Vincenzo De’ Paoli, pendant qu’elle été à l’Ho^pital de Naples. Paul VI en 1965 avait proposé la béatification après la fin du deuxième Concile du Vatican. |
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TRASLATION DU CORPS |
En effet après e^tre divenu pre^tre, il a été professeur de Patrologie à Saint Girolamo. Il a été un important père de l’Eglise Chrétienne et il a traduit la Bible de la langue Hébraique au latin. Le Pape Jean Paul II pendant l’homélie de la messe de Penteco^te a rappelé le béat Pape Jean XXIII avec des mots émouvants. Actuellement le béat Jean XXIII repose près de l’autel de ce noble père de l’Eglise, Saint Girolamo, qui l’a précédé sur le chemin de santité. Le sarcophage où le cercueil etait gardé a été tranféré à Sotto il Monte, son pays natal, dans l’Eglise de Saint Marie en Brusicco. |
His election proclaimed under a full moon. (See under John Paul II for this significance.)
Angelo Roncalli (A.K.A. Antipope John XXIII)
Roncalli insisted upon receiving the red hat from the notoriously anti-clerical Vincent Auriol,
President of the Masonic "Fourth Republic" of France (whom he had described as "an honest socialist").
« Trois jours plus tard, il était nommé Patriarche de Venise, et durant les cinq ans qu’il y était, de nouveau, comme à Paris, il a exprimé une certaine sympathie pour les idéologies de Gauche, ce qui parfois embarrassa la presse italienne. »
After Roncalli's "election" he summoned the conclavists back for an unusual overnight post-election session:
“John XXIII asked the cardinals to remain in the conclave another night instead of leaving immediately as was customary…to caution them again against revealing the secrets of his election to outsiders...” (Alden Hatch, A Man Named John, Hawthorn Books, 1963, p. 163.)
Antipope John XXIII & "Cardinal" Bea the Marrano Jew
Antipope John XXIII & "Cardinal" Bea the Marrano Jew
Introibo concludes with the following comments, as quoted in part:
Au cours de la visite nocturne, l'inconnu exposa donc à Pier Carpi les circonstances du cheminement spirituel et initiatique d'Angelo Roncalli, archevêque de Mesembria, délégué apostolique en Turquie.
M. Vincent Auriol, président île la Republique, impose la haretté au cardinal Roncalli
Le début du récit remonte à l'année 1935.
A cette époque, Angelo Roncalli doit faire preuve de la plus extrême prudence du fait des persécutions. Vêtu en civil, surveillé par tous, pratiquement dans l'impossibilité de se déplacer car les espions sont nombreux et difficilement décelables, il en est réduit à célébrer les sacrements à l'intention d'une communauté réduite à quelques fidèles. «C'est justement en ce temps-là qu'a lieu son premier contact avec le monde inconnu» écrit Pier Carpi.
Sept nuits de suite, alors qu'il s'abandonnait à son premier sommeil, le délégué apostolique reçut en songe la visite d'un étrange personnage, «vieux, les cheveux très blancs, le visage maigre, la peau sombre, des yeux doux et perçants. » (2), avec lequel il s'entretenait mentalement.
Mais, semble-t-il, les mots sommeil, songe, ou autres peuvent paraître tout à fait impropres ou insuffisants pour qualifier réellement l'état de conscience dans lequel il se trouvait plongé. La septième nuit fut décisive.
Le « vieil homme du sommeil » se manifesta en questionnant d'emblée :
«Sauras-tu me reconnaître?
Et Angelo Roncalli de répondre :
— Toujours, maître.»
Et, toujours dans cet état indéfinissable, Angelo Roncalli vit deux livres apparaître dans les mains du vieillard, les livres sacrés de «T» et de «M».
Il s'agissait des livres de la connaissance que le vieillard feuilletait sous ses ‘yeux’, rédigés dans une langue inconnue mais qu'Angelo Roncalli décryptait sans le moindre effort. Et pour lui, tout devint incroyablement simple, une grande lumière se fit en lui, semblable à celle qui nimbait les deux couvertures aux deux lettres d'argent en relief lorsque le « vieil homme du sommeil » referma les livres.
Le vieillard l'assura qu'il était sur la voie, qu'il était prêt et que lui-même n'était venu que parce qu'Angelo Roncalli l'avait appelé, que maintenant il savait, mais qu'il avait encore beaucoup de choses «à apprendre, à voir, à vivre ».
-«C'est pourquoi nous nous reverrons.
Je t'attends, maître, répartit le délégué apostolique. » (2)
Avant de disparaître, par trois fois, le vieil homme demanda à Angelo Roncalli s'il saurait le reconnaître, et par trois fois, ce dernier répondit affirmativement.
Réveillé, celui-ci tenta de retranscrire ce qu'il avait lu, mais sans y parvenir : il ne retrouvait aucun mot. Pourtant, il y avait en lui une certitude jamais atteinte auparavant, qu'il ne pouvait qualifier que d'un pauvre mot, la «lumière», reflétant bien imparfaitement l'état de conscience nouveau qui l'habitait et que rien ne pourrait plus jamais effacer.
Pier Carpi, rapportant toujours les confidences de son visiteur, relate qu'ensuite Angelo Roncalli reçut sept jours plus tard la visite ‘physique’ du vieillard qui l'avait contacté en «songe». Il était assis dans l'entrée de son logis. Un court dialogue s'ébaucha :
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